Texte libre

Proverbe du jour.

Dans une époque de Ténèbres un aveugle est le meilleur guide.

Dans une époque de Démence, regardons le fou nous montrer la voie.

 

 

 

   

I need...

Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 00:00

Tremblez forces des ténèbres ... le tueur de douleur vient pour vous.

 

Un jeu que je recommande à tous les allumés de la gachette, à tous ceux qui frolent le nervous-breakdown, à ceux qui ont eu une rude journée de travail et qui aimeraient crucifier leur patron parcequ'il leur a refusé une augmentation de salaire. En bref, à tous ceux qui ont besoin de se défouler. Si vous êtes un fervent admirateur des bisounours et de bibiphoque, bien entendu ce soft vous est fortement déconseillé en raison de son contenu violent et macabre ; si vous êtes un adepte du doom-like intelligent où il faut resoudre quelques enigmes; sauter d'un point A à un point B pour atteindre l'objectif ou encore interagir avec des objets, passez votre chemin également. Je m'explique. La logique Painkiller est simple : avancer, découper, cribler, empaler, exploser. 

 

Scénario: Vous êtes Daniel Garner ( super original le nom ) un pauvre type fringué tout en noir et en cuir qui se retrouve au purgatoire aprés être décédé lors d'un accident de voiture. Manque de pot, le bougre à l'ardoise bien chargée et l'entrée au paradis lui est refusée. Mais Jesus et ses potes décident de lui donner une seconde chance de sauver son âme si Daniel accepte de bosser pour eux : nettoyer le Purgatoire des supots de Satan. 

Bon ok j'avoue qu'au niveau scénaristique c'est pas trés recherché. Mais je vous l'ai dit, le mot "reflechir" ne fait pas partie du vocabulaire de Painkiller.

 

Graphismes: Une beauté macabre surprenante. Pour peu que vous aillez une bécane puissante vous pourrez profiter des nombreux effets et détails qu'offre le soft, c'est l'un des points forts. Le level design quant à lui est trés original et vous mènera dans des lieux diversifiés a travers disverses époques: cimetière, opéra, usine, asile, cathédrale. L'environnement ravira les amateurs d'architecture gothique.

 

Gameplay: Tout ce qu'il y a de plus classique sur un FPS. Commandes simples et intuitives, fluidité des niveaux assurée, présence d'un tir secondaire pour chaque arme... le soft marque par l'originalité de l'armement avec un lance pieux ou encore un lance shuriken pour assurer une mort plus que douloureuse aux nombreux monstres. Palette d'ennemis variée et originale avec des boss gigantesques qui vous donneront du fil à retordre ( c'est d'ailleurs le seul moment où il faut réfléchir ). 

 

Bande son: Des sons trés corrects qui savent vous garder dans le feu de l'action le tout appuyé par une musique Hard-Rock bien rythmée pour accentuer l'aspect bourrin du jeu.

 

 Qui a dit que la syphilis n'existait plus ?

 

Le lance-pieux fera le bonheur des plus sadiques d'entre vous.

Par Templarius - Publié dans : Torture Room
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Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 00:00

  Hey ... Mr le consommateur. Je suis quelqu'un comme toi. Je n'ai aucune importance et aucune valeur en ce monde. Je suis la marchandise qui achete d'autres marchandises.... J'offre mon temps de cerveau disponible à Coca-Cola dés que je m'installe devant le Dieu télévisuel qui me bénit de sa publicité.

Ne cherche pas à trouver les différences, je suis comme toi Mr le consommateur. Nous faisons tous partie de la même grande famille dégénérée et vomitive; de cette entité invisible à nos yeux mais qui est pourtant là avec nous, quelque part. Elle est nulle part et partout en même temps ; nous sommes en elle.... nous sommes la Masse.

Oui ... le miroir aura beau refleter ton visage quand tu te regardes dedans, mais c'est la Masse qu'il reflete quand toute notre Societé y plonge le regard. La vois-tu ? ... regarde ... regarde-la bien ... observe-la se piquer avec la drogue Supermarché... tirer son rail de Coke-Cola ... fumer des roulées de liasses d'Euros et Dollars à s'en faire vomir ... se délecter de l'inhalation des vapeurs que rejettent les volcans CAC-40, DOW-JONES et NIKKEI. Le pire c'est qu'elle fait tout ça sans même s'en apperçevoir car elle est trop occupée à prier ... oui, à prier devant l'autel du Dieu TV.

Tu ne veux plus faire partie de ça, dis-tu ? Tu en as assez d'être un fanatique de son armée ? ...... Hélas Mr le consommateur tu sais bien que c'est impossible. La Masse à besoin de gens comme toi et moi pour perdurer, elle à besoin de notre stupidité pour vivre et je crains que son individualisme ait raison de toi si tu décides de quitter sa Gloire.     . . . ne fuis pas  ... reste avec nous Mr le consommateur, tu ne peux pas échapper à la Gloire de la Masse. Reviens ! .... je l'entends déjà chanter dans ma tête, elle me corromp, elle me somme de te punir de ton hérésie. Je suis elle et elle est moi, je suis son bras armé ... elle chante encore .... Gloire à la Masse ....je suis une voix de son choeur .....................

( Glory to the many ..... I am a voice in their choir )

 

Par Dark Templarius - Publié dans : myhouseofpain
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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 00:00

Le ligotage, C'est quoi ?

Souvenirs et fantasmes

Rappelez-vous, quand vous étiez enfant... Quand vous jouiez aux cow-boys et aux indiens, et que vous étiez capturé(e) par le camp ennemi pour être "ligoté(e) au poteau de torture", n'étiez-vous pas traversé(e) par un frisson de plaisir que vous n'auriez avoué pour rien au monde?

Et maintenant, est-ce qu'il ne vous arrive pas d'avoir envie de murmurer à l'oreille de votre amant(e): "J'ai envie que tu m'attaches." A moins que ce ne soit: "Tu veux bien que je t'attache?" Vous n'osez pas? Et s'il (elle) n'attendait que ça? Si vous ne lui posez pas la question, vous ne le saurez peut-être jamais... Bien sûr, vous avez un peu peur: Et si l'autre se moquait de vous? Et s'il (elle) vous prenait pour un(e) fou (folle), voire un(e) "pervers(e)"?Rassurez-vous, tout le monde a des fantasmes, et ce genre de fantasme en fait bien souvent partie... Si vous vous connaissez bien l'un(e) et l'autre, si vous avez suffisamment confiance l'un(e) dans l'autre, ce genre de discussion doit être naturel. Et si l'autre se "braque", ça ne veut pas forcément dire que vous n'êtes pas fait l'un(e) pour l'autre. Mais que la communication au sein de votre couple peut être encore améliorée...

Ces liens qui nous libèrent

Si vous avez atterri sur cette page, c'est qu'a priori le sujet vous intéresse. Mais peut-être vous demandez-vous simplement comment quiconque peut éprouver du plaisir à être ligoté. Contrairement à une croyance répandue (surtout parmi ceux qui ne pratiquent pas le ligotage ?), vouloir être ligoté n'est pas nécessairement le fait d'êtres soumis, effacés, ou aimant souffrir. Certains psychologues assurent même que des invidus dominateurs et sur qui pèsent toutes sortes de responsabilités n'aiment rien tant que d'être étroitement ligotés, et de n'avoir enfin aucune décision à prendre, étant entièrement soumis au bon vouloir de l'autre. D'autres vont même jusqu'à y voir une forme de thérapie: après le bruit et l'agitation du monde, subir une immobilité et un silence forcés peut être une porte ouverte sur une forme de méditation, permettant au ligoté d'atteindre ce que les anglophones appellent parfois le subspace. Autre théorie: on se laisser aller plus facilement quand on est attaché. Telle personne qui n'ose pas gémir et crier sans retenue quand le plaisir arrive, pourra le faire plus facilement une fois ligotée...

Passage à l'acte

Alors, supposons qu'à votre question, l'autre a répondu (avec un petit sourire) "Oui, pourquoi pas ?"... Votre coeur fait des bonds dans votre poitrine. Peut-être même que vos mains tremblent un peu: ça y est, vous êtes en train de réaliser un sacré fantasme! La première fois, vous avez sans doute utilisé ce qui vous tombait sous la main: les ceintures de vos peignoirs éponges, les vieilles cravates de Monsieur, un reste de câble électrique (souple, de préférence)... Et pour les noeuds, vous avez improvisé...

Par la suite, vous avez certainement cherché à vous "documenter", et peut-être qu'au cours de vos surfs sur le Net, vous êtes tombé(e) -certainement pas par hasard- sur des photos de Japonaises étroitement ligotées dans un entrelacs de noeuds nombreux et compliqués... Et vous vous êtes demandé: Mais comment font-ils pour s'y retrouver? Et puis, tous ces noms bizarres: shibari, nawashi, asanawa, sakuranbo...

Vocabulaire

Commençons donc par un petit glossaire des termes que vous rencontrerez dans vos recherches. Vous n'avez pas besoin de les connaître par coeur, mais ils peuvent être utiles comme mots-clés dans un moteur de recherche comme Google ou AltaVista... Et puis, si vous déclarez lors d'un dîner entre amis "Nous avons passé la soirée d'hier à faire du kinbaku, Caro m'a concocté un karada absolument divin, mais le shinju que je lui ai fait lui a donné des rougeurs.", vous êtes sûr de votre petit effet. Ceux qui n'y connaissent rien croiront tout simplement que vous êtes amateurs de cuisine exotique, et que votre compagne est allergique au poisson cru. Et les connaisseurs auront un joli sourire complice...

Sans plus attendre, voici donc quelques un de ces mots magiques:

  • Kinbaku = l’art de ligoter "à la Japonaise"
  • Nawa = corde
  • Asanawa = corde traditionelle Japonaise, faite de chanvre
  • Nawashi = un artiste de la corde
  • Shibari = l’action de ligoter quelqu’un
  • Karada = le corps – par métonymie, le harnais de corde qui enveloppe le corps
  • Shinju = les perles – par métonymie, le bondage des seins
  • Sakuranbo = les cerises – par métonymie,le bondage des fesses, voire le bondage génital
  • Shibaritai = le fait pour le Maître d’indiquer son désir de ligoter son Sujet
  • Shibararetai = le fait pour le Sujet d’indiquer son désir d’être ligoté(e) par le Maître
  • Hojo-jutsu = l’art martial qui consiste à immobiliser un prisonnier avec des liens
  • Musubime = un noeud

Et dire qu'à part sayonara, nous ne parlons pas un mot de japonais...

Pour finir, le terme bondage est le mot anglais pour "ligotage".

Cordages

Le ligotage japonais traditionnel n'utilise pas n'importe quelle corde. Les puristes préfèrent le chanvre ou le jute, mais au supermarché du coin, vous trouverez plus facilement des cordes en nylon ou en polypropylène. Un conseil: voyez grand d'entrée de jeu. Un rouleau de 10 mètres de corde est très insuffisant. Prenez au moins 30 ou 40 mètres pour commencer. Vous verrez: vous utiliserez tout. Et vous irez acheter un second rouleau. Voire plus si affinités. Côté diamètre: un gros diamètre (6 à 10 millimètres, soit 1/4 ou 3/8 de pouce pour nos amis anglais) est préférable. Une corde plus mince s'apparenterait davantage à de la vulgaire ficelle, et vous ne voudriez pas que Madame ressemble à un roti, non ? Une corde trop fine aura tendance à "scier" la peau, et les noeuds seront plus difficiles à défaire.

Avec votre rouleau de 30 mètres, vous pouvez préparer 2 longueurs de 12 mètres et 2 autres de 3. Vous pouvez vérifier: 2 fois 12 plus 2 fois 3, ça fait bien 30. Petit problème: si vous laissez vos bouts de corde comme ça, ils vont rapidement s'effilocher. Astuce: utilisez du ruban adhésif (comme celui, plastifié, qu'on trouve au rayon électricité) pour terminer vos cordages.

Précautions

Le ligotage est un jeu amusant et agréable (même, et peut-être surtout, pour celle qui le "subit") mais, comme n'importe quel autre jeu, il nécessite quelques précautions élémentaires pour ne pas devenir un jeu dangereux.

  • Ayez toujours une grosse paire de ciseaux à portée de main. Vous pouvez avoir à détacher votre "cobaye" très rapidement en cas d'urgence, et s'il y a tout plein de noeuds à défaire, vous êtes mal partis, voire pas partis du tout. Alors, ayez cette paire de ciseaux dans la pièce (non, pas dans la pièce "juste à côté"). Et vérifiez avant qu'elle est capable de couper votre chère corde.
  • Ne passez jamais un lien serré devant le cou. Derrière la nuque, pas de problème. Mais devant: jamais. Vous êtes prévenus: ne jouez pas au pendu.
  • Surveillez les extrémités (mains, pieds) de votre cobaye. Si elles deviennent blanches, puis bleues , c'est que vous avez trop serré les cordes, et que vous empêchez la circulation du sang de se faire normalement. C'est dangereux: vous pouvez créer des lésions irréversibles. Défaites immédiatement les liens, et frictionnez les membres concernés pour faire circuler le sang.
  • De même, si votre cobaye se plaint de picotements ou d'engourdissement dans les membres, c'est que là encore vous avez trop serré. Si vous l'avez baillonné(e) -ce qui peut faire partie du jeu- vous aurez convenu d'un signal sans équivoque pour qu'il ou elle vous signale ce type de problème. Vous pouvez lui glisser une bille au creux de la main, si elle (il) la laisse tomber, cela voudra dire qu'elle (il) a quelque chose d'important à vous dire (comme: "Mais, j'y pense, tu as pensé à payer les impôts?") Si personne ne joue aux billes dans la maison, des "hnnnn! hnnnn! hnnnn!" proférés tant bien que mal à travers le baillon peuvent aussi faire l'affaire...
  • Si vous avez des enfants chez vous, pensez à fermer votre porte à clé . Si la petite dernière fait irruption dans votre chambre ("Papa, j'ai fait un cauchemar!"), elle aura sans aucun doute beaucoup de mal à comprendre ce qu'elle voit si Papa éprouve un immense plaisir à être ligoté sur le lit les bras en croix et les jambes écartées tandis que Maman s'assied toute nue sur sa figure (ce qui peut aussi faire partie du jeu).

Ambiance

 Celle que l'autre ligote est en général nue, bien que ce ne soit pas une obligation. Mieux vaut donc éviter qu'il ne règne dans la pièce une température polaire: pensez à régler le chauffage à votre convenance, au moins une heure avant. En prime, pour créer une ambiance exotique, vous pouvez faire brûler de l'encens.

Question importante: music or not music? J'aurais tendance à dire que non.

Eclairages: lumière douce - mais pas trop quand même.

Accessoires

Votre amante de coeur est prête à se laisser ligoter. Vous avez les cordes. Vous avez le local (votre chambre, ou toute autre pièce de la maison - si votre cave est sèche, bien chauffée, et pas trop encombrée, vous pouvez même l'aménager en "donjon"...) Il ne vous manque donc plus rien!

Et pourquoi pas quelques accessoires?

  • Une chaise. Surtout si elle se prête bien aux ligotages avec ses nombreux barreaux... Mais même une chaise toute simple est riche de possibilités.
  • Pour Madame, des bas, avec ou sans porte-jarretelles...
  • Parmi les nombreuses raisons de se laisser ligoter, les sensations procurées sont parmi les plus importantes. Pour permettre à la "victime" d'apprécier pleinement ces sensations, il peut être utile de la priver de certains de ses sens, comme la vue et l'ouïe. Pour la vue, il est possible d'improviser un bandeau avec un simple foulard, ou d'utiliser un masque opaque en tissu souple comme ceux qu'on distribue dans les avions longs courriers. Pour l'ouïe, on peut utiliser des boulettes en mousse ou en coton prévues à cet effet, ou bien utiliser un casque audio (comme celui que vous branchez sur votre chaîne HiFi). Comme ce type de casque n'est pas toujours très étanche aux sons extérieurs, il est possible de "masquer" ceux-ci en envoyant dans le casque du bruit blanc à faible volume, ce qui s'obtient facilement en réglant une radio FM sur fréquence sans émetteur. On peut aussi utiliser un disque ou une cassette contenant le bruit du ressac de l'océan. Ainsi isolée du monde extérieur, la personne ligotée pourra se consacrer complètement à ses sensations tactiles sans être distraite.

  • Le site de cet article: ATACHEMOI de Chris et Caro.

  • Par Dark Templarius - Publié dans : Torture Room
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    Dimanche 20 février 7 20 /02 /Fév 00:00

     Un article inutile par excellence, un souffle de vent ridicule, un spasme insignifiant dans l'ocean du net......car tu ne le liras jamais Mère. Dommage car je vais y vomir tout l'amour impur que j'ai pour toi, toute la haine que j'ai envers toi, tout le malheur que je te souhaite. Bien que cela fasse deux ans que je ne vois plus ta misérable carcasse de chair se pavanner devant mes yeux, j'epprouve toujours autant de dégout lorsque le souvenir de ta personne crève ma cervelle pour ressurgir. Tu es un abcès, une tumeur, un ....virus qui infecte chacune de mes pensées. Je me dis même que j'ai honte d'avoir été conçu et porté durant 9 mois en ton être repugnant, avoir été la forme de vie dont tu t'es servie pour épater la galerie, ... j'ai honte de t'avoir appellé "maman" durant 16 ans.

    Je te soupçonne de m'avoir voulu par caprice de jeunesse, de m'avoir désiré pour avoir une raison de continuer avec mon Père, pour servir de gadget annimalier avec lequel on s'amuse tant qu'il est petit et bon pour l'euthanasie dés qu'il est suffisament grand pour penser. Tu ne t'es jamais souciée de moi, de ce que j'étais ou de ce que je pouvais penser, tu n'as jamais cherchée à me comprendre.  Trop occupée à penser a toi avant tout ? Trop occupée à satisfaire tes besoins avant ceux de ton entourrage ? ... Je pense que oui. Ton mari ne serait jamais allé voir ailleurs si ce n'était pas le cas. Crois-tu que j'ai apprécié que tu sois venue me "kidnapper" en pleine classe lorsque j'avais 10 ans pour te servir de moi plus tard comme moyen de pression sur mon Père ? Crois-tu vraiment que tu m'aies laissé le choix ? ...  Lorsque tu me regardais tu voyais en moi le mari qui t'avait trompée et trahie, j'étais la "chose" issue de votre union qui ne voulait désormais plus rien dire, le sac de frappe psychologique sur lequel tu t'es défoulée durant prés de deux ans ! Tu trouves normal que ton propre fils pleure tous les soirs en espérant qu'il se réveille le lendemain loin de toi ? C'est ainsi que tu as précipitée mon mérpis pour toi ; c'est de toutes ces situations qu'est née mon indifference pour toi. A quoi bon continuer à se traîner devant une personne qui exige un tas de choses de moi sans jamais vouloir savoir ce que j'en pensais. " Fais tes devoirs ! Tes notes ne sont pas bonnes ! Le professeur à raison de te punir ! ..."cette forme d'interêt pour moi oui vous la connaissiez bien, toi et ta Mère. Vous vouliez que j'atteigne la perfection, vous l'avez eue. Mais désormais je suis trop parfait pour des gens comme vous. Merci à vous d'avoir détruit mon adolescence....mais merci à vous d'avoir grandement contribué à devenir ce que je suis maintenant et ce que je serai désormais toute ma vie: un être ayant renié sa famille, son nom et ses sentiments.

    Crois-moi Mère, tu es passée plusieurs fois à coté des occasions de te rattraper à mes yeux mais ta cécité envers ton fils, ô combien croissante au fil des années, t'en a empêchée. Tu ne sais même pas que tu aurais failli retrouver mon cadavre mutilé dans le couloir de l'appartement il y a 5 ans si je n'avais pas su rassembler mes dernieres forces pour me convaincre de lâcher le couteau de combat que j'avais posé sur ma carotide. J'ai fui chez S....., la voisine du dessus pour eviter de replonger dans ma folie. Elle m'a receuillie et parlée malgré mon mutisme et mes convulsions nerveuses, chose que tu n'aurais jamais pu faire ! Le lendemain j'ai fait comme si il ne c'était jamais rien passé et tu n'as rien vu. A cette époque tu ne représentais déjà plus rien à mes yeux, nous vivions comme deux collocataires qui étaient obligés de vivre ensemble et qui, en plus de ça, se détestaient. Le train train quotidien avec toi suivait son cours entre ton inutilité intellectuelle et les remarques déplacées de ta mère envers moi, jusqu'à mes 17 ans . Mais ce qui t'a perdue, ce qui à fait que j'ai définitivement décidé de te rayer de ma carte ( pour commencer ), c'est que toi et ta mère vous êtes attaquées à mon Monde. Vous avez tenté de mettre une barriere entre moi et les seules choses envers lequelles je pouvais me conforter par votre manque de considération: la solitude, les jeux video, et plus tard, internet et ma vie sentimentale. Vous avez passé des années à faire en sorte que je me retranche dans ce mode de vie et maintenant qu'il fait partie de moi vous avez essayé de venir le corrompre. Mère, je me souviendrai toujours de cette nuit où je suis venu chez toi alors que je devais etre chez mon père afin de pour pouvoir régler un important probleme d'ordre sentimental et que tu as voulue me jetter dehors. Tout ca parce que je n'avais pas a être là. Ton imbécilité avait pris, une fois de plus, le dessus et cette fois ci j'étais à deux doigts te recouvrir ton visage d'échimoses, mais j'ai pu me maîtriser pour finalement faire payer un mur de pierre à ta place. Mais pour combien de temps ces coups resteront en attente sur ce mur avant d'atteindre leur véritable cible ?

    Tu m'as fait souffrir Mère. Tu as contribuée à ma lente destruction durant mon adolescence, tu fais partie du glaive morcelé qui m'a tranché les entrailles durant des années. Tu m'as fait payer les frais de ton malêtre. Comme tu me l'avais dit un jour: "Quoi que tu fasses comme mal dans ta vie, tu finiras par le payer.", maintenant c'est à toi de payer. Je suis la main vengeresse de Jack, et je donnerais n'importe quoi pour pouvoir broyer ton visage entre mes doigts, te voir ramper à mes pieds en implorant mon pardon, me délecter du malheur que je pourrai t'infliger ! Mais patience....la vengeance est tellement triviale; et la mienne finira inévitablement par te rattraper toi et ta mère. Cela va faire 2 ans que je ne vous ai pas vues et je vous HAIS toujours autant, ma colère reste intacte et elle le restera tant que vous ne l'aurez pas subie de plein fouet. Ce n'est qu'une question de temps. 

    Par Dark Templarius - Publié dans : myhouseofpain
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    Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 00:00

     

    Le Suicide

    Le suicide a toujours existé

    Mis au pilori, enfermé en d'autres temps dans la maladie mentale, sujet de polémiques et de jugements, objet de science ou de philosophie, trop souvent figé dans le rejet et le silence, le suicide est fréquement et complaisament abordé à travers de faux savoirs et des idées reçues.

    Ces mythes, croyances, savoirs, tabous peuvent être lus comme autant de tentatives de se protéger d'une réalité par trop difficile à vivre et à comprendre.
    Classifier, compatrimenter, analyser, juger est une attitude bien humaine pour prendre distance.

    Cependant, à chaque moment, la réalité nous interpelle.
    Chaque année, dans notre pays, plus de 2.000 personnes se suicident, et plus de 20.000 tentent de se suicider. Et pour chacune:une famille, des amis, des connaissances, des collègues...

    Le suicide touche tous les âges

    Le suicide touche toutes les couches de population, à tous les âges et dans toutes les classes sociales. Deuxième cause de décès chez les jeunes de 15 à 24 ans, première cause de décès chez les jeunes adultes entre 25 et 34 ans, il constitue également - on a tendance à l'ignorer - une cause importante de mortalité chez les personnes âgées. Il importe par ailleurs que, chaque jour, 60 à 70 tentatives de suicide ont lieu en France avec un taux élevé de récidives.


    La prévention du suicide

    Au-delà des croyances, le suicide parle avant tout de personnes. Il parle de leur souffrance, mal-être, détresse. Il parle aussi des proches, de leur incompréhension, détresse, impuissance. Il parle de relation et de communication.
    Actuellement, le tabou entourant la problématique du suicide se fissure, du silence émerge des questions, comme si, peu à peu, nous acceptions que la personne suicidaire se rapproche de nous et que nous puissions l'écouter et l'entendre.
    C'est la première étape d'une prévention du suicide.

    Se mettre à l'écoute de la personne suicidaire permet de se rendre compte qu'elle n'est pas si différente de nous, qu'elle a des choses à nous dire sur ses difficultés de vie, ses difficultés à assumer ce qui lui arrive. Elle va nous parler de ras-le-bol, de ces moments où vivre a des relents d'impasse et où mourir est en sortir discrètement, par la porte du fond, ou, au contraire, violemment, au plus fort de son angoisse, de sa souffrance et de sa colère.
    Ecouter son entourage nous fait rencontrer la peur, la culpabilité, le questionnement de l'attitude à avoir, des mots qu'il faut dire ou ne pas dire.

    L'état de crise, l'ambivalence, le désir de communiquer et d'être compris font partie intégrante de la problématique suicidaire et de notre rencontre avec la personne suicidaire. Une grande part de la prévention va se trouver dans notre capacité à être là.
    La prévention n'est pas là pour circonscrire, éviter à tout prix le passage à l'acte mais bien plutôt pour tenter d'humaniser les situations conduisant à celui-ci.

    Face à une personne suicidaire

    Il est conseillé :

    - De parler ouvertement et calmement de son envie de mourir.
    - D'essayer d'écouter ce qu'elle vit en l'invitant à se confier.
    - De renoncer à vouloir tout comprendre.
    - De prendre toute tentative de suicide au sérieux.
    - De l'encourager à prendre contact avec le Centre de Prévention du Suicide ou avec un aidant spécialisé (psychologue, médecin, psychothérapeute, psychiatre).
    - De vous faire aider si vous vous sentez démuni, en téléphonant au Centre de Prévention du Suicide ou en prenant contact avec un aidant spécialisé (psychologue, psychothérapeute, psychiatre, médecin).


    Il est déconseillé :

    - De la juger.
    - De lui donner des recettes de bonheur.
    - De lui faire la morale.
    - De vous engager au-delà de vos possibilités ou de lui donner de fausses espérances.
    - D'inciter la personne à vivre par devoir pour ses proches (enfants - conjoints - parents), ce qui risquerait de la culpabiliser.
    - De porter seul la responsabilité de l'accompagnement.


    Par Dark Templarius - Publié dans : Torture Room
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