Texte libre

Proverbe du jour.

Dans une époque de Ténèbres un aveugle est le meilleur guide.

Dans une époque de Démence, regardons le fou nous montrer la voie.

 

 

 

   

I need...

Torture Room

Vendredi 24 juin 5 24 /06 /Juin 00:00

Missionaires ou meurtriers ?

 

A travers les siècles, les Chrétiens ont su conforter leur pouvoir sur le peuple avec une trés grande persuasion, même si parfois les moyens employés n'étaient pas trés "Catholiques". Cette belle communauté religieuse a honorée le principe de supériorité par la destruction de ses opposants, et ce dés 392 AD, date où la religion Chrétienne a été reconnue comme étant la religion officielle de l'Empire Romain. Il semblerait d'ailleurs que cette "directive" vienne d'en haut, Dieu aurait dit:

" Au reste, amenez ici mes ennemis, qui n'ont pas voulu que je régnasse sur eux, et tuez-les en ma présence." Luc. Chapitre 19, Verset 27.

Autant le "Paradis" Chrétien est de la pure fabulation, mais il n'en est rien pour l'enfer. Aprés plus de 1000 ans d'actes de barbarie en tous genres perpétrés sur le continent Européen, les hommes de Foi ont su exporter leur cruauté aux quatre coins du globe. L'Eglise, qui a prétendue être l'instrument de la bonté affectueuse du Christ, a enseignée à de nombreuses populations appauvries le vrai sens des mots "souffrance" et "douleur".

Les peines réservées à ceux qui osèrent être différents:

Incarcération, privation de nourriture et maltraitance psychologique, lacération, mutilation, strangulation, mort par suffocation, écartèlement, écrasement, brûlures, garrot, ... mort lente et agonisante.

A present nous allons voir quelques unes de ces "pieuses" pratiques grace à des gravures datant du moyen age.

 

 

Le passage à la roue.

L'hérétique nu se voit tout d'abbord se faire casser un à un chacun de ses membres avec précision ainsi que ses articulations afin d'éviter un décés prématuré lors de l'opération. Ensuite il est "tréssé" dans les rais d'une roue puis levé par un poteau. De là, il était soit exposé à divers châtiments corporels exercés par ses bourreaux, soit tout simplement laissé à la vue des passants pour servir d'exemple.

 

 

Etripé.

Le condamné se voyait tout simplement vidé de ses entrailles alors qu'il est toujours en vie. Curieusement, d'aprés les inquisiteurs, l'âme de la victime restait intacte grâce à ce procédé.

 

 

La poire.

La poire vaginale était employée sur les femmes qui étaient soupçonnées d'avoir copulé avec le diable ou ses acolytes. La poire rectale était utilisée sur les individus de sexe masculin soupçonnés d'être homosexuels. La poire orale, elle, a été employée sur les pratiquants hérétiques ou sur des personnes ayant été surprises lors de pratiques " peu orthodoxes". Insérée dans la bouche, l'anus ou le vagin de la victime, la poire ést écartée au moyen d'une vis jusqu'à ce que les intérieurs soient déchirés, étirés et mutilés, causant presque toujours la mort. Les extrémités pointues de l'objet servaient également  à déchirer la gorge et les intestins.

 

 

Grillé.

Simple mais efficace.

 

 

Le berceau de Judas.

La victime est élevée dans les airs à l'aide d'une corde ou d'une chaîne puis abaissée jusqu'au vagin, l'anus ou  le coccis sur un pieux en bois massif. Le tortionnaire peut changer la pression exercée sur ces points en accrochant des poids sur la victime et en la laissant tomber de diverses hauteurs.

 

 

L'araignée de fer.

Le fer est habituellement chauffé à blanc et employé pour déchirer lentement les seins de l'individu. Il serait employé pour des crimes tels que l'heresie, l'adultère, les avortements, le blasphème et d'autres crimes "affreux".

 

 

Le Strapado.

Il a été conçu pour disloquer les épaules d'une victime en la levant  au dessus du sol, en lui permettant de tomber, et en l'arrêtant soudainement avant qu'elle ait touchée la terre.  Pour intensifier le suplice, des poids (changeant de 50 à 500 livres) ont été attachés au corps de la victime pour disloquer un plus grand nombre d'os.

 

 

Ecrasé.

Extirper l'hérésie hors de l'hérétique.

 

 

La patte du chat.

Un râteau acéré, utilisé pour déchirer la chair de la personne et pour séparer la chair des os de toute les parties de son corps.

 

 

Brûlure à petit feu.

Un dispositif du 16eme siècle pour soulever la victime dans et hors du feu, le rôtissant vivant lentement au lieu de le brûler d'un seul trait.

 

 

Le Support.

Le préféré.  Du moins seulement par les Inquisiteurs pour qui c'était un instrument de choix après que la poulie ait échoué.  L'élongation et la dislocation de prés de 12cm de chaque membre du corps devient possible !  Biensur, les efforts des chirurgiens afin le remettre en place les articulations permettait à la torture d'être répétée plusieurs fois.  Les lacérations et les graves pertes de sang résulteaient du déchirement de chaque muscle,  ainsi que de l'utilisation additionnelle d'une pince chauffée à blanc afin déchirer les mamelons, les langues, les oreilles, le nez, et les parties génitales.  Le banquet d'un sadique - et naturellement il a rapproché le misérable hérétique vers Dieu.

Par Templarius - Publié dans : Torture Room
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Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 00:00

Tremblez forces des ténèbres ... le tueur de douleur vient pour vous.

 

Un jeu que je recommande à tous les allumés de la gachette, à tous ceux qui frolent le nervous-breakdown, à ceux qui ont eu une rude journée de travail et qui aimeraient crucifier leur patron parcequ'il leur a refusé une augmentation de salaire. En bref, à tous ceux qui ont besoin de se défouler. Si vous êtes un fervent admirateur des bisounours et de bibiphoque, bien entendu ce soft vous est fortement déconseillé en raison de son contenu violent et macabre ; si vous êtes un adepte du doom-like intelligent où il faut resoudre quelques enigmes; sauter d'un point A à un point B pour atteindre l'objectif ou encore interagir avec des objets, passez votre chemin également. Je m'explique. La logique Painkiller est simple : avancer, découper, cribler, empaler, exploser. 

 

Scénario: Vous êtes Daniel Garner ( super original le nom ) un pauvre type fringué tout en noir et en cuir qui se retrouve au purgatoire aprés être décédé lors d'un accident de voiture. Manque de pot, le bougre à l'ardoise bien chargée et l'entrée au paradis lui est refusée. Mais Jesus et ses potes décident de lui donner une seconde chance de sauver son âme si Daniel accepte de bosser pour eux : nettoyer le Purgatoire des supots de Satan. 

Bon ok j'avoue qu'au niveau scénaristique c'est pas trés recherché. Mais je vous l'ai dit, le mot "reflechir" ne fait pas partie du vocabulaire de Painkiller.

 

Graphismes: Une beauté macabre surprenante. Pour peu que vous aillez une bécane puissante vous pourrez profiter des nombreux effets et détails qu'offre le soft, c'est l'un des points forts. Le level design quant à lui est trés original et vous mènera dans des lieux diversifiés a travers disverses époques: cimetière, opéra, usine, asile, cathédrale. L'environnement ravira les amateurs d'architecture gothique.

 

Gameplay: Tout ce qu'il y a de plus classique sur un FPS. Commandes simples et intuitives, fluidité des niveaux assurée, présence d'un tir secondaire pour chaque arme... le soft marque par l'originalité de l'armement avec un lance pieux ou encore un lance shuriken pour assurer une mort plus que douloureuse aux nombreux monstres. Palette d'ennemis variée et originale avec des boss gigantesques qui vous donneront du fil à retordre ( c'est d'ailleurs le seul moment où il faut réfléchir ). 

 

Bande son: Des sons trés corrects qui savent vous garder dans le feu de l'action le tout appuyé par une musique Hard-Rock bien rythmée pour accentuer l'aspect bourrin du jeu.

 

 Qui a dit que la syphilis n'existait plus ?

 

Le lance-pieux fera le bonheur des plus sadiques d'entre vous.

Par Templarius - Publié dans : Torture Room
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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 00:00

Le ligotage, C'est quoi ?

Souvenirs et fantasmes

Rappelez-vous, quand vous étiez enfant... Quand vous jouiez aux cow-boys et aux indiens, et que vous étiez capturé(e) par le camp ennemi pour être "ligoté(e) au poteau de torture", n'étiez-vous pas traversé(e) par un frisson de plaisir que vous n'auriez avoué pour rien au monde?

Et maintenant, est-ce qu'il ne vous arrive pas d'avoir envie de murmurer à l'oreille de votre amant(e): "J'ai envie que tu m'attaches." A moins que ce ne soit: "Tu veux bien que je t'attache?" Vous n'osez pas? Et s'il (elle) n'attendait que ça? Si vous ne lui posez pas la question, vous ne le saurez peut-être jamais... Bien sûr, vous avez un peu peur: Et si l'autre se moquait de vous? Et s'il (elle) vous prenait pour un(e) fou (folle), voire un(e) "pervers(e)"?Rassurez-vous, tout le monde a des fantasmes, et ce genre de fantasme en fait bien souvent partie... Si vous vous connaissez bien l'un(e) et l'autre, si vous avez suffisamment confiance l'un(e) dans l'autre, ce genre de discussion doit être naturel. Et si l'autre se "braque", ça ne veut pas forcément dire que vous n'êtes pas fait l'un(e) pour l'autre. Mais que la communication au sein de votre couple peut être encore améliorée...

Ces liens qui nous libèrent

Si vous avez atterri sur cette page, c'est qu'a priori le sujet vous intéresse. Mais peut-être vous demandez-vous simplement comment quiconque peut éprouver du plaisir à être ligoté. Contrairement à une croyance répandue (surtout parmi ceux qui ne pratiquent pas le ligotage ?), vouloir être ligoté n'est pas nécessairement le fait d'êtres soumis, effacés, ou aimant souffrir. Certains psychologues assurent même que des invidus dominateurs et sur qui pèsent toutes sortes de responsabilités n'aiment rien tant que d'être étroitement ligotés, et de n'avoir enfin aucune décision à prendre, étant entièrement soumis au bon vouloir de l'autre. D'autres vont même jusqu'à y voir une forme de thérapie: après le bruit et l'agitation du monde, subir une immobilité et un silence forcés peut être une porte ouverte sur une forme de méditation, permettant au ligoté d'atteindre ce que les anglophones appellent parfois le subspace. Autre théorie: on se laisser aller plus facilement quand on est attaché. Telle personne qui n'ose pas gémir et crier sans retenue quand le plaisir arrive, pourra le faire plus facilement une fois ligotée...

Passage à l'acte

Alors, supposons qu'à votre question, l'autre a répondu (avec un petit sourire) "Oui, pourquoi pas ?"... Votre coeur fait des bonds dans votre poitrine. Peut-être même que vos mains tremblent un peu: ça y est, vous êtes en train de réaliser un sacré fantasme! La première fois, vous avez sans doute utilisé ce qui vous tombait sous la main: les ceintures de vos peignoirs éponges, les vieilles cravates de Monsieur, un reste de câble électrique (souple, de préférence)... Et pour les noeuds, vous avez improvisé...

Par la suite, vous avez certainement cherché à vous "documenter", et peut-être qu'au cours de vos surfs sur le Net, vous êtes tombé(e) -certainement pas par hasard- sur des photos de Japonaises étroitement ligotées dans un entrelacs de noeuds nombreux et compliqués... Et vous vous êtes demandé: Mais comment font-ils pour s'y retrouver? Et puis, tous ces noms bizarres: shibari, nawashi, asanawa, sakuranbo...

Vocabulaire

Commençons donc par un petit glossaire des termes que vous rencontrerez dans vos recherches. Vous n'avez pas besoin de les connaître par coeur, mais ils peuvent être utiles comme mots-clés dans un moteur de recherche comme Google ou AltaVista... Et puis, si vous déclarez lors d'un dîner entre amis "Nous avons passé la soirée d'hier à faire du kinbaku, Caro m'a concocté un karada absolument divin, mais le shinju que je lui ai fait lui a donné des rougeurs.", vous êtes sûr de votre petit effet. Ceux qui n'y connaissent rien croiront tout simplement que vous êtes amateurs de cuisine exotique, et que votre compagne est allergique au poisson cru. Et les connaisseurs auront un joli sourire complice...

Sans plus attendre, voici donc quelques un de ces mots magiques:

  • Kinbaku = l’art de ligoter "à la Japonaise"
  • Nawa = corde
  • Asanawa = corde traditionelle Japonaise, faite de chanvre
  • Nawashi = un artiste de la corde
  • Shibari = l’action de ligoter quelqu’un
  • Karada = le corps – par métonymie, le harnais de corde qui enveloppe le corps
  • Shinju = les perles – par métonymie, le bondage des seins
  • Sakuranbo = les cerises – par métonymie,le bondage des fesses, voire le bondage génital
  • Shibaritai = le fait pour le Maître d’indiquer son désir de ligoter son Sujet
  • Shibararetai = le fait pour le Sujet d’indiquer son désir d’être ligoté(e) par le Maître
  • Hojo-jutsu = l’art martial qui consiste à immobiliser un prisonnier avec des liens
  • Musubime = un noeud

Et dire qu'à part sayonara, nous ne parlons pas un mot de japonais...

Pour finir, le terme bondage est le mot anglais pour "ligotage".

Cordages

Le ligotage japonais traditionnel n'utilise pas n'importe quelle corde. Les puristes préfèrent le chanvre ou le jute, mais au supermarché du coin, vous trouverez plus facilement des cordes en nylon ou en polypropylène. Un conseil: voyez grand d'entrée de jeu. Un rouleau de 10 mètres de corde est très insuffisant. Prenez au moins 30 ou 40 mètres pour commencer. Vous verrez: vous utiliserez tout. Et vous irez acheter un second rouleau. Voire plus si affinités. Côté diamètre: un gros diamètre (6 à 10 millimètres, soit 1/4 ou 3/8 de pouce pour nos amis anglais) est préférable. Une corde plus mince s'apparenterait davantage à de la vulgaire ficelle, et vous ne voudriez pas que Madame ressemble à un roti, non ? Une corde trop fine aura tendance à "scier" la peau, et les noeuds seront plus difficiles à défaire.

Avec votre rouleau de 30 mètres, vous pouvez préparer 2 longueurs de 12 mètres et 2 autres de 3. Vous pouvez vérifier: 2 fois 12 plus 2 fois 3, ça fait bien 30. Petit problème: si vous laissez vos bouts de corde comme ça, ils vont rapidement s'effilocher. Astuce: utilisez du ruban adhésif (comme celui, plastifié, qu'on trouve au rayon électricité) pour terminer vos cordages.

Précautions

Le ligotage est un jeu amusant et agréable (même, et peut-être surtout, pour celle qui le "subit") mais, comme n'importe quel autre jeu, il nécessite quelques précautions élémentaires pour ne pas devenir un jeu dangereux.

  • Ayez toujours une grosse paire de ciseaux à portée de main. Vous pouvez avoir à détacher votre "cobaye" très rapidement en cas d'urgence, et s'il y a tout plein de noeuds à défaire, vous êtes mal partis, voire pas partis du tout. Alors, ayez cette paire de ciseaux dans la pièce (non, pas dans la pièce "juste à côté"). Et vérifiez avant qu'elle est capable de couper votre chère corde.
  • Ne passez jamais un lien serré devant le cou. Derrière la nuque, pas de problème. Mais devant: jamais. Vous êtes prévenus: ne jouez pas au pendu.
  • Surveillez les extrémités (mains, pieds) de votre cobaye. Si elles deviennent blanches, puis bleues , c'est que vous avez trop serré les cordes, et que vous empêchez la circulation du sang de se faire normalement. C'est dangereux: vous pouvez créer des lésions irréversibles. Défaites immédiatement les liens, et frictionnez les membres concernés pour faire circuler le sang.
  • De même, si votre cobaye se plaint de picotements ou d'engourdissement dans les membres, c'est que là encore vous avez trop serré. Si vous l'avez baillonné(e) -ce qui peut faire partie du jeu- vous aurez convenu d'un signal sans équivoque pour qu'il ou elle vous signale ce type de problème. Vous pouvez lui glisser une bille au creux de la main, si elle (il) la laisse tomber, cela voudra dire qu'elle (il) a quelque chose d'important à vous dire (comme: "Mais, j'y pense, tu as pensé à payer les impôts?") Si personne ne joue aux billes dans la maison, des "hnnnn! hnnnn! hnnnn!" proférés tant bien que mal à travers le baillon peuvent aussi faire l'affaire...
  • Si vous avez des enfants chez vous, pensez à fermer votre porte à clé . Si la petite dernière fait irruption dans votre chambre ("Papa, j'ai fait un cauchemar!"), elle aura sans aucun doute beaucoup de mal à comprendre ce qu'elle voit si Papa éprouve un immense plaisir à être ligoté sur le lit les bras en croix et les jambes écartées tandis que Maman s'assied toute nue sur sa figure (ce qui peut aussi faire partie du jeu).

Ambiance

 Celle que l'autre ligote est en général nue, bien que ce ne soit pas une obligation. Mieux vaut donc éviter qu'il ne règne dans la pièce une température polaire: pensez à régler le chauffage à votre convenance, au moins une heure avant. En prime, pour créer une ambiance exotique, vous pouvez faire brûler de l'encens.

Question importante: music or not music? J'aurais tendance à dire que non.

Eclairages: lumière douce - mais pas trop quand même.

Accessoires

Votre amante de coeur est prête à se laisser ligoter. Vous avez les cordes. Vous avez le local (votre chambre, ou toute autre pièce de la maison - si votre cave est sèche, bien chauffée, et pas trop encombrée, vous pouvez même l'aménager en "donjon"...) Il ne vous manque donc plus rien!

Et pourquoi pas quelques accessoires?

  • Une chaise. Surtout si elle se prête bien aux ligotages avec ses nombreux barreaux... Mais même une chaise toute simple est riche de possibilités.
  • Pour Madame, des bas, avec ou sans porte-jarretelles...
  • Parmi les nombreuses raisons de se laisser ligoter, les sensations procurées sont parmi les plus importantes. Pour permettre à la "victime" d'apprécier pleinement ces sensations, il peut être utile de la priver de certains de ses sens, comme la vue et l'ouïe. Pour la vue, il est possible d'improviser un bandeau avec un simple foulard, ou d'utiliser un masque opaque en tissu souple comme ceux qu'on distribue dans les avions longs courriers. Pour l'ouïe, on peut utiliser des boulettes en mousse ou en coton prévues à cet effet, ou bien utiliser un casque audio (comme celui que vous branchez sur votre chaîne HiFi). Comme ce type de casque n'est pas toujours très étanche aux sons extérieurs, il est possible de "masquer" ceux-ci en envoyant dans le casque du bruit blanc à faible volume, ce qui s'obtient facilement en réglant une radio FM sur fréquence sans émetteur. On peut aussi utiliser un disque ou une cassette contenant le bruit du ressac de l'océan. Ainsi isolée du monde extérieur, la personne ligotée pourra se consacrer complètement à ses sensations tactiles sans être distraite.

  • Le site de cet article: ATACHEMOI de Chris et Caro.

  • Par Dark Templarius - Publié dans : Torture Room
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    Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 00:00

     

    Le Suicide

    Le suicide a toujours existé

    Mis au pilori, enfermé en d'autres temps dans la maladie mentale, sujet de polémiques et de jugements, objet de science ou de philosophie, trop souvent figé dans le rejet et le silence, le suicide est fréquement et complaisament abordé à travers de faux savoirs et des idées reçues.

    Ces mythes, croyances, savoirs, tabous peuvent être lus comme autant de tentatives de se protéger d'une réalité par trop difficile à vivre et à comprendre.
    Classifier, compatrimenter, analyser, juger est une attitude bien humaine pour prendre distance.

    Cependant, à chaque moment, la réalité nous interpelle.
    Chaque année, dans notre pays, plus de 2.000 personnes se suicident, et plus de 20.000 tentent de se suicider. Et pour chacune:une famille, des amis, des connaissances, des collègues...

    Le suicide touche tous les âges

    Le suicide touche toutes les couches de population, à tous les âges et dans toutes les classes sociales. Deuxième cause de décès chez les jeunes de 15 à 24 ans, première cause de décès chez les jeunes adultes entre 25 et 34 ans, il constitue également - on a tendance à l'ignorer - une cause importante de mortalité chez les personnes âgées. Il importe par ailleurs que, chaque jour, 60 à 70 tentatives de suicide ont lieu en France avec un taux élevé de récidives.


    La prévention du suicide

    Au-delà des croyances, le suicide parle avant tout de personnes. Il parle de leur souffrance, mal-être, détresse. Il parle aussi des proches, de leur incompréhension, détresse, impuissance. Il parle de relation et de communication.
    Actuellement, le tabou entourant la problématique du suicide se fissure, du silence émerge des questions, comme si, peu à peu, nous acceptions que la personne suicidaire se rapproche de nous et que nous puissions l'écouter et l'entendre.
    C'est la première étape d'une prévention du suicide.

    Se mettre à l'écoute de la personne suicidaire permet de se rendre compte qu'elle n'est pas si différente de nous, qu'elle a des choses à nous dire sur ses difficultés de vie, ses difficultés à assumer ce qui lui arrive. Elle va nous parler de ras-le-bol, de ces moments où vivre a des relents d'impasse et où mourir est en sortir discrètement, par la porte du fond, ou, au contraire, violemment, au plus fort de son angoisse, de sa souffrance et de sa colère.
    Ecouter son entourage nous fait rencontrer la peur, la culpabilité, le questionnement de l'attitude à avoir, des mots qu'il faut dire ou ne pas dire.

    L'état de crise, l'ambivalence, le désir de communiquer et d'être compris font partie intégrante de la problématique suicidaire et de notre rencontre avec la personne suicidaire. Une grande part de la prévention va se trouver dans notre capacité à être là.
    La prévention n'est pas là pour circonscrire, éviter à tout prix le passage à l'acte mais bien plutôt pour tenter d'humaniser les situations conduisant à celui-ci.

    Face à une personne suicidaire

    Il est conseillé :

    - De parler ouvertement et calmement de son envie de mourir.
    - D'essayer d'écouter ce qu'elle vit en l'invitant à se confier.
    - De renoncer à vouloir tout comprendre.
    - De prendre toute tentative de suicide au sérieux.
    - De l'encourager à prendre contact avec le Centre de Prévention du Suicide ou avec un aidant spécialisé (psychologue, médecin, psychothérapeute, psychiatre).
    - De vous faire aider si vous vous sentez démuni, en téléphonant au Centre de Prévention du Suicide ou en prenant contact avec un aidant spécialisé (psychologue, psychothérapeute, psychiatre, médecin).


    Il est déconseillé :

    - De la juger.
    - De lui donner des recettes de bonheur.
    - De lui faire la morale.
    - De vous engager au-delà de vos possibilités ou de lui donner de fausses espérances.
    - D'inciter la personne à vivre par devoir pour ses proches (enfants - conjoints - parents), ce qui risquerait de la culpabiliser.
    - De porter seul la responsabilité de l'accompagnement.


    Par Dark Templarius - Publié dans : Torture Room
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    Vendredi 4 février 5 04 /02 /Fév 00:00

     

    " Le désir de faire souffrir l'objet sexuel - ou le sentiment opposé, le désir de se faire souffrir soi-même - est la forme de perversion la plus fréquente et la plus importante de toutes. " S.Freud.

     

    Le BDSM, acronyme de Bondage et Discipline, Domination et Soumission Sado-Masochisme, est un ensemble de pratiques sexuelles marginales, fondées sur une relation de dominant à dominé, cette domination pouvant s'exercer de façon psychologique, ou par le biais de liens ou de contraintes physiques, ou par les deux. Les partenaires pratiquent ces jeux afin d'obtenir par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes un plaisir sexuel plus intense. Mais, dans certains cas, anaphrodisie, il ne s'agit que de parvenir à une ébauche de plaisir sexuel.

    Pour certains, ce plaisir sexuel se double souvent d'une décharge d'endorphines : la douleur provoque la sécrétion de cette morphine naturelle, qui peut plonger le sujet dans un état d'euphorie. D'autres doivent faire appel à des "adjuvants" (alcool, "toniques" divers, voire drogues).

    Entre adultes consentants, l'ensemble de ces pratiques n'est pas interdit. Quand il y a défaut de consentement de la part de l'un des participants, ces pratiques peuvent tomber sous le coup de la loi (agression sexuelle, viol, actes de barbarie), ainsi que lorsqu'elles s'exercent à l'égard de personnes vulnérables : mineurs, handicapés, personnes âgées, etc.

    Nota: la cire chaude est un pratique courante dans le BDSM. Toutefois, ce sont des cires blanches, ou des cires colorées spéciales qui fondent à basse température qui sont employées.

    Il est très important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé. Il est très facile de "rater" une "séance", en laissant plus q'un mauvais souvenir.

     "T'aimes ça hein ?! "

    Par Dark Templarius - Publié dans : Torture Room
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