Missionaires ou meurtriers ?
A travers les siècles, les Chrétiens ont su conforter leur pouvoir sur le peuple avec une trés grande persuasion, même si parfois les moyens employés n'étaient pas trés "Catholiques". Cette belle communauté religieuse a honorée le principe de supériorité par la destruction de ses opposants, et ce dés 392 AD, date où la religion Chrétienne a été reconnue comme étant la religion officielle de l'Empire Romain. Il semblerait d'ailleurs que cette "directive" vienne d'en haut, Dieu aurait dit:
" Au reste, amenez ici mes ennemis, qui n'ont pas voulu que je régnasse sur eux, et tuez-les en ma présence." Luc. Chapitre 19, Verset 27.
Autant le "Paradis" Chrétien est de la pure fabulation, mais il n'en est rien pour l'enfer. Aprés plus de 1000 ans d'actes de barbarie en tous genres perpétrés sur le continent Européen, les hommes de Foi ont su exporter leur cruauté aux quatre coins du globe. L'Eglise, qui a prétendue être l'instrument de la bonté affectueuse du Christ, a enseignée à de nombreuses populations appauvries le vrai sens des mots "souffrance" et "douleur".
Les peines réservées à ceux qui osèrent être différents:
Incarcération, privation de nourriture et maltraitance psychologique, lacération, mutilation, strangulation, mort par suffocation, écartèlement, écrasement, brûlures, garrot, ... mort lente et agonisante.
A present nous allons voir quelques unes de ces "pieuses" pratiques grace à des gravures datant du moyen age.
Le passage à la roue.
L'hérétique nu se voit tout d'abbord se faire casser un à un chacun de ses membres avec précision ainsi que ses articulations afin d'éviter un décés prématuré lors de l'opération. Ensuite il est "tréssé" dans les rais d'une roue puis levé par un poteau. De là, il était soit exposé à divers châtiments corporels exercés par ses bourreaux, soit tout simplement laissé à la vue des passants pour servir d'exemple.
Etripé.
Le condamné se voyait tout simplement vidé de ses entrailles alors qu'il est toujours en vie. Curieusement, d'aprés les inquisiteurs, l'âme de la victime restait intacte grâce à ce procédé.
La poire.
La poire vaginale était employée sur les femmes qui étaient soupçonnées d'avoir copulé avec le diable ou ses acolytes. La poire rectale était utilisée sur les individus de sexe masculin soupçonnés d'être homosexuels. La poire orale, elle, a été employée sur les pratiquants hérétiques ou sur des personnes ayant été surprises lors de pratiques " peu orthodoxes". Insérée dans la bouche, l'anus ou le vagin de la victime, la poire ést écartée au moyen d'une vis jusqu'à ce que les intérieurs soient déchirés, étirés et mutilés, causant presque toujours la mort. Les extrémités pointues de l'objet servaient également à déchirer la gorge et les intestins.
Grillé.
Simple mais efficace.
Le berceau de Judas.
La victime est élevée dans les airs à l'aide d'une corde ou d'une chaîne puis abaissée jusqu'au vagin, l'anus ou le coccis sur un pieux en bois massif. Le tortionnaire peut changer la pression exercée sur ces points en accrochant des poids sur la victime et en la laissant tomber de diverses hauteurs.
L'araignée de fer.
Le fer est habituellement chauffé à blanc et employé pour déchirer lentement les seins de l'individu. Il serait employé pour des crimes tels que l'heresie, l'adultère, les avortements, le blasphème et d'autres crimes "affreux".
Le Strapado.
Il a été conçu pour disloquer les épaules d'une victime en la levant au dessus du sol, en lui permettant de tomber, et en l'arrêtant soudainement avant qu'elle ait touchée la terre. Pour intensifier le suplice, des poids (changeant de 50 à 500 livres) ont été attachés au corps de la victime pour disloquer un plus grand nombre d'os.
Ecrasé.
Extirper l'hérésie hors de l'hérétique.
La patte du chat.
Un râteau acéré, utilisé pour déchirer la chair de la personne et pour séparer la chair des os de toute les parties de son corps.
Brûlure à petit feu.
Un dispositif du 16eme siècle pour soulever la victime dans et hors du feu, le rôtissant vivant lentement au lieu de le brûler d'un seul trait.
Le Support.
Le préféré. Du moins seulement par les Inquisiteurs pour qui c'était un instrument de choix après que la poulie ait échoué. L'élongation et la dislocation de prés de 12cm de chaque membre du corps devient possible ! Biensur, les efforts des chirurgiens afin le remettre en place les articulations permettait à la torture d'être répétée plusieurs fois. Les lacérations et les graves pertes de sang résulteaient du déchirement de chaque muscle, ainsi que de l'utilisation additionnelle d'une pince chauffée à blanc afin déchirer les mamelons, les langues, les oreilles, le nez, et les parties génitales. Le banquet d'un sadique - et naturellement il a rapproché le misérable hérétique vers Dieu.