My hOuSe Of PaiN.....
Un article inutile par excellence, un souffle de vent ridicule, un spasme insignifiant dans l'ocean du net......car tu ne le liras jamais Mère. Dommage car je vais y vomir tout l'amour impur que j'ai pour toi, toute la haine que j'ai envers toi, tout le malheur que je te souhaite. Bien que cela fasse deux ans que je ne vois plus ta misérable carcasse de chair se pavanner devant mes yeux, j'epprouve toujours autant de dégout lorsque le souvenir de ta personne crève ma cervelle pour ressurgir. Tu es un abcès, une tumeur, un ....virus qui infecte chacune de mes pensées. Je me dis même que j'ai honte d'avoir été conçu et porté durant 9 mois en ton être repugnant, avoir été la forme de vie dont tu t'es servie pour épater la galerie, ... j'ai honte de t'avoir appellé "maman" durant 16 ans.
Je te soupçonne de m'avoir voulu par caprice de jeunesse, de m'avoir désiré pour avoir une raison de continuer avec mon Père, pour servir de gadget annimalier avec lequel on s'amuse tant qu'il est petit et bon pour l'euthanasie dés qu'il est suffisament grand pour penser. Tu ne t'es jamais souciée de moi, de ce que j'étais ou de ce que je pouvais penser, tu n'as jamais cherchée à me comprendre. Trop occupée à penser a toi avant tout ? Trop occupée à satisfaire tes besoins avant ceux de ton entourrage ? ... Je pense que oui. Ton mari ne serait jamais allé voir ailleurs si ce n'était pas le cas. Crois-tu que j'ai apprécié que tu sois venue me "kidnapper" en pleine classe lorsque j'avais 10 ans pour te servir de moi plus tard comme moyen de pression sur mon Père ? Crois-tu vraiment que tu m'aies laissé le choix ? ... Lorsque tu me regardais tu voyais en moi le mari qui t'avait trompée et trahie, j'étais la "chose" issue de votre union qui ne voulait désormais plus rien dire, le sac de frappe psychologique sur lequel tu t'es défoulée durant prés de deux ans ! Tu trouves normal que ton propre fils pleure tous les soirs en espérant qu'il se réveille le lendemain loin de toi ? C'est ainsi que tu as précipitée mon mérpis pour toi ; c'est de toutes ces situations qu'est née mon indifference pour toi. A quoi bon continuer à se traîner devant une personne qui exige un tas de choses de moi sans jamais vouloir savoir ce que j'en pensais. " Fais tes devoirs ! Tes notes ne sont pas bonnes ! Le professeur à raison de te punir ! ..."cette forme d'interêt pour moi oui vous la connaissiez bien, toi et ta Mère. Vous vouliez que j'atteigne la perfection, vous l'avez eue. Mais désormais je suis trop parfait pour des gens comme vous. Merci à vous d'avoir détruit mon adolescence....mais merci à vous d'avoir grandement contribué à devenir ce que je suis maintenant et ce que je serai désormais toute ma vie: un être ayant renié sa famille, son nom et ses sentiments.
Crois-moi Mère, tu es passée plusieurs fois à coté des occasions de te rattraper à mes yeux mais ta cécité envers ton fils, ô combien croissante au fil des années, t'en a empêchée. Tu ne sais même pas que tu aurais failli retrouver mon cadavre mutilé dans le couloir de l'appartement il y a 5 ans si je n'avais pas su rassembler mes dernieres forces pour me convaincre de lâcher le couteau de combat que j'avais posé sur ma carotide. J'ai fui chez S....., la voisine du dessus pour eviter de replonger dans ma folie. Elle m'a receuillie et parlée malgré mon mutisme et mes convulsions nerveuses, chose que tu n'aurais jamais pu faire ! Le lendemain j'ai fait comme si il ne c'était jamais rien passé et tu n'as rien vu. A cette époque tu ne représentais déjà plus rien à mes yeux, nous vivions comme deux collocataires qui étaient obligés de vivre ensemble et qui, en plus de ça, se détestaient. Le train train quotidien avec toi suivait son cours entre ton inutilité intellectuelle et les remarques déplacées de ta mère envers moi, jusqu'à mes 17 ans . Mais ce qui t'a perdue, ce qui à fait que j'ai définitivement décidé de te rayer de ma carte ( pour commencer ), c'est que toi et ta mère vous êtes attaquées à mon Monde. Vous avez tenté de mettre une barriere entre moi et les seules choses envers lequelles je pouvais me conforter par votre manque de considération: la solitude, les jeux video, et plus tard, internet et ma vie sentimentale. Vous avez passé des années à faire en sorte que je me retranche dans ce mode de vie et maintenant qu'il fait partie de moi vous avez essayé de venir le corrompre. Mère, je me souviendrai toujours de cette nuit où je suis venu chez toi alors que je devais etre chez mon père afin de pour pouvoir régler un important probleme d'ordre sentimental et que tu as voulue me jetter dehors. Tout ca parce que je n'avais pas a être là. Ton imbécilité avait pris, une fois de plus, le dessus et cette fois ci j'étais à deux doigts te recouvrir ton visage d'échimoses, mais j'ai pu me maîtriser pour finalement faire payer un mur de pierre à ta place. Mais pour combien de temps ces coups resteront en attente sur ce mur avant d'atteindre leur véritable cible ?
Tu m'as fait souffrir Mère. Tu as contribuée à ma lente destruction durant mon adolescence, tu fais partie du glaive morcelé qui m'a tranché les entrailles durant des années. Tu m'as fait payer les frais de ton malêtre. Comme tu me l'avais dit un jour: "Quoi que tu fasses comme mal dans ta vie, tu finiras par le payer.", maintenant c'est à toi de payer. Je suis la main vengeresse de Jack, et je donnerais n'importe quoi pour pouvoir broyer ton visage entre mes doigts, te voir ramper à mes pieds en implorant mon pardon, me délecter du malheur que je pourrai t'infliger ! Mais patience....la vengeance est tellement triviale; et la mienne finira inévitablement par te rattraper toi et ta mère. Cela va faire 2 ans que je ne vous ai pas vues et je vous HAIS toujours autant, ma colère reste intacte et elle le restera tant que vous ne l'aurez pas subie de plein fouet. Ce n'est qu'une question de temps.
Bonjour,
Puisque tu nous a invité( over-bloggeurs) à venir voir ton blog et que je suis générallement curieuse de nouveautés, je suis entrée spontanément dans ton univers, dans ta "house of pain". Je ne peut m'empêcher de laisser un commentaire pour t'écrire un petit mot sur ce que j'ai lu du blog(pratiquement tout). Je m'excuses dès lors d'avance qu'il ne soit pas en relation directe avec l'article.
Nous ne sommes pas dans le même univers, c'est certain(tu le constatera en parcourant mon blog). Pourquoi suis-je touchée par ton blog et pourquoi alors est-je parcourut tes lignes sans m'ennuyer et fermer la page? ta souffrance est poignante et me rappelle la mienne, même si elle se situe sur une autre échelle certainement. Tu te bats actuellement pour essayer d'en sortir, comme moi je le fais de mon coté avec mes autres soucis. La vie d'étudiant et l'entrée dans la vie professionnelle n'est pas là pour apaiser les doutes malheureusement. On dirait que c'est l'étape d'amplification d'un cogito qui était jusqu'à là embryonnaire.Ta colère et ton dégout pour la vie sont plus que palpables. Peut être ne sont-ils que des fruits amers qui méritent d'être consommés pour pouvoir assainir les racines...et repartir avec un sourire qui est moins narquois qu'habituellement.mes propos seront peut être perçus comme naïf ou autre... ce message n'a d'autre but que de t'encourager à avancer.
Kyungah